Selon un nouveau rapport de l’ONU, il est urgent d’agir pour lutter contre la violence en ligne à l’égard des femmes et des jeunes filles.

Via ONU Femmes . Merci d'avoir partagé le lien, Screen Shot 2015-09-25 at 11.02.46 AM Shanly!

On dirait que notre projet a un allié plus gros et plus international qui travaille vers le même objectif.

Les constatations principales furent prévisibles et, comme toujours, à glacer le sang:

  • Environ 73 % des femmes ont été exposé à une forme ou une autre de violence en ligne.

  • Les femmes âgées de 18 à 24 ans sont particulièrement susceptibles de subir du traquage et de l'harcèlement sexuel en outre de subir des menaces physiques.
  • Neuf millions de femmes vivant dans les 28 pays de l'Union Européenne ont été victime de violence en ligne dès l’âge de 15 ans.
  • Une utilisatrice d’Internet sur cinq vit dans un pays où le harcèlement et la maltraitance des femmes sur l'internet est extrêmement peu susceptible d’être punis.
  • Dans de nombreux pays, les femmes sont réticentes à signaler les abus par crainte de répercussions sociales.
  • La cyberviolence contre les femmes et les filles met plus de travail sur la bande passante émotionnelle, diminue le temps personnel et professionnel et augmente les ressources financières et les rémunérations salairiales manquées.

La bande passante émotionnelle. Quelle magnifique manière de l'exprimer...

Il n'y a pas de nouveau concernant les recommendations principales. Malgré tout, cela ne veux pas dire que ces recommendations ne sont pas super importantes:

  • Sensibilisation – Prévenir la cyberviolence contre les femmes et les filles par la formation, l'éducation, le développement communautaire et en faisant campagne pour promouvoir des changements dans les attitudes et les comportements sociaux.
  • Sauvegarde – Mettre en oeuvre la supervision et maintenir une infrastructure responsable pour l'internet à partir de solutions techniques et des pratiques de service à la clientèle plus éclairées.
  • Sanctions – Développer et maintenir des lois, des réglementations et des and mécanismes de gouvernance pour prévenir que les perpétrateurs commette ces actes.

Les deux derniers "S" ont l'air d'être les plus intéressants, puisqu'ils cherchent des solutions dans des "design hacks" et des manifestes. Le rapport complet est disponible, sur le site web du ONU Femmes.